vendredi 30 mai 2014

Thionville–Luxembourg-Ville en cabine monorail aérien suspendu TransFraLux !

L’A31, c’est jusqu’à 100.000 véhicules / jour, dont 10% de poids-lourds.

Les quelques 80.000 “frontas” en savent quelque chose en matière de bouchons, ralentissements et heures perdues, sans compter les retards, les rendez-vous ratés.

Question de passage à 2x3 voies, ce n’est pas demain la veille que l’on verra se réaliser les travaux, actuellement estimés à 1,4 Mds €.

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Pourtant, les différents organismes PDU “Plan de Déplacements Urbains” en Moselle-Nord, le MODU, la Mobilité Durable au Luxembourg, le SCoTAT Schéma de Cohérence Territoriale de l’Agglomération Thionvilloise  préconisent des réductions de flux automobiles par échelonnement sur les décennies à venir.

Une idée, oui et après ? Les circonstances, comme du constat qu’en cette période de délitement des institutions et de la difficulté de mener des projets d’envergure nous font aller vers un mode de transport rapide, spacieux, indépendant des conditions climatiques etc.

C’est ainsi que débute une aventure qui va permettre, dans les 3 à 5 ans à venir, aux “frontas” de faire le trajet en toute quiétude.

mercredi 19 mars 2014

"40 millions d'automobilistes" révèle le classement des villes où il fait bon rouler

Votre ville est-elle "autophile" ? À moins d'une semaine du premier tour des élections municipales, "40 millions d'automobilistes" publie les résultats de l'opération "Raconte-moi ta ville" et révèle le classement des villes où il fait bon rouler. Pour consulter le classement,

Thionville_Centre-Ville_Stationnement_20-04.13(19)

L'enquête

Au classement général des villes de plus de 30.000 ha, Thionville se classe 14ème avec 2.93 de moyenne.

Les résultats de l'enquête sont très intéressants et méritent d'être analysés en profondeur pour pouvoir en tirer des idées pour Thionville qui a besoin d'une amélioration des conditions de circulation et de stationnement.

lundi 10 mars 2014

L’accessibilité ou l’occasion manquée.

Pour celles te ceux qui suivent l’actualité, vous avez appris récemment que la loi sur l’accessibilité prévue pour le 1er janvier 2015 a été repoussée de 3, 6 ou 9 ans, alors que la loi sur le handicap date du 11 février 2005 !!!

Une personne en fauteuil roulant fait grise mine devant une personne assise à son bureau en surplomb qui lui dit : "Revenez dans... quelques années !" 

Handicap

Personnes handicapées : délais de mise en œuvre de l’accessibilité

Publié le 28.02.2014 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

Dans un communiqué du mercredi 26 février 2014, le Premier ministre a annoncé de nouvelles modalités de mise en œuvre du volet accessibilité de la loi handicap du 11 février 2005. Il s’agit de tenir compte des difficultés de nombreux acteurs publics ou privés à respecter l’échéance initialement fixée au 1er janvier 2015 pour la mise en accessibilité des établissements recevant du public et des transports collectifs aux personnes handicapées.

Un nouveau dispositif est prévu, intitulé « Agendas d’accessibilité programmée » (Ad’AP). Il permettra aux acteurs publics et privés, qui ne seront pas en conformité avec l’ensemble des règles d’accessibilité au 1er janvier 2015, de s’engager avant la fin 2014 sur un calendrier précis et resserré de travaux d’accessibilité. En cas de non-respect de l’Ad’AP, son signataire s’exposera à de nouvelles sanctions. Les petits établissements recevant du public disposeront d’un délai de 3 ans supplémentaires pour se mettre en conformité. Pour les autres, ce délai pourra aller jusqu’à 6, voire 9 ans en fonction des agendas d’accessibilité adoptés. Dans le secteur des transports, le délai supplémentaire accordé sera de 3 ans au maximum pour les transports urbains et de 9 ans au maximum pour les transports ferroviaires.

Il est également prévu d’actualiser un certain nombre de normes et de dispositions règlementaires et de les compléter afin de mieux prendre en compte l’ensemble des formes de handicap.

Source

A croire que tout le monde s’en balance.

Et pour revenir à notre localité, Thionville, j’ai remarqué qu’il y avait beaucoup à faire, malgré les discussions lors des réunions de la Commission Accessibilité.

J’ai retenu 4 exemples de mauvaises conceptions, dont une est très récente.

Je vais les développer ci-après :

1) Lampadaires sur trottoir de la rue Lothaire (Saint François)

2) Cheminement handicapés à la Mairie de Thionville.

3) Cheminement handicapés Place Turenne

4) Accès de la nouvelle Saint Isidore à Elange.

En détails en cliquant sur “plus d’infos”, ci-dessous.

La Fnaut veut remettre la voiture à sa place en ville

 

L’article qui suit fait l’inventaire des réflexions à avoir pour redéfinir les bonnes conditions de partage de l’espace urbain.

 

vendredi 21 février 2014

Transports : PDU, les conclusions

Après une consultation publique à laquelle UCIROUTHE avait participé, (Billet précédent) les résultats des commissaires enquêteurs ont été publiés.

Plus d'info sur http://www.smitu.fr/ et Accès aux documents

A titre de l'Association UCIROUTHE, http://ucirouthe.blogspot.fr/ j'étais intervenu dans le cadre de l'enquête. Vous trouverez les observations en annexe 5, de la page 83 à la page 93 du pdf : Observations

Le lien du Rapport des commissaires enquêteurs

Vous pourrez lire les divergences de point de vue entre les présidents du Smitu et de la CAPFT. Du résultat des prochaines municipales, cette enquête sera orientée probablement dans une nouvelle direction.

A votre disposition pour renseignements sur le sujet.

En bas de billet, copie de l’article du Républicain Lorrain du 21 février.

Yves

jeudi 20 février 2014

SÉCURITÉ - SENSIBILISATION AUX ACCIDENTS DE LA ROUTE À MERCY (Metz)

. Une journée à l’hôpital plutôt qu’une amende

Dans l’amphithéâtre du centre hospitalier de Mercy, certains automobilistes ne comprennent pas bien ce qu’ils font là. Photo Gilles WIRTZ

Dans l’amphithéâtre du centre hospitalier de Mercy, certains automobilistes ne comprennent pas bien ce qu’ils font là.

Photo Gilles WIRTZ

(Source SENSIBILISATION AUX ACCIDENTS DE LA ROUTE À MERCY)

Vidéo : En Moselle, la sécurité routière passe aussi par la sensibilisation

vendredi 14 février 2014

Baromètre accessibilité de l'APF : le verre à moitié vide ou à moitié plein ?

Handicap - Publié le jeudi 13 février 2014 : Source documentaire

C'est désormais une référence incontournable en matière de mesure de l'accessibilité urbaine : l'Association des paralysés de France (APF) publie la cinquième édition de son baromètre sur l'accessibilité des chefs-lieux de département.
Mais, cette année, le discours de l'association est pour le moins ambivalent. D'un côté, la couverture du document annonce un "avis de tempête" et dénonce "le retard pris dans la mise en accessibilité des 96 chefs-lieux départementaux", jugé "plus que préoccupant". Proximité des municipales oblige, l'APF demande également "que cet enjeu primordial soit inscrit dans les programmes des candidats aux élections municipales à venir". L'association feint également de s'interroger : "Comment les villes vont-elle pouvoir combler toutes ces lacunes en quelques mois, alors qu'elles n'ont pas réussi à mettre en œuvre ces chantiers depuis 1975, date de la première loi sur l'accessibilité ?"
Mais, de l'autre côté, l'édition 2013 du baromètre de l'APF relève "une hausse de la moyenne générale" de ces 96 chefs-lieux. Cette progression est d'ailleurs constante depuis la création du baromètre. La note moyenne nationale est ainsi passée de 10,6 en 2009 à 11,6 en 2010, 12 en 2011, 13,04 en 2012 et 14,14 en 2013. Loin de se réjouir de cette progression significative, l'APF estime qu'"une moyenne de 14,14 à quelques mois de l'échéance finale est un grave échec de la politique de mise en accessibilité de la France ! D'autant plus que l'obligation d'accessibilité date de 1975 et non pas de 2005 ! Qu'ont fait les villes pendant 39 ans en matière d'accessibilité ?"

Des écarts importants

Il subsiste en outre des écarts importants. C'est le cas, bien sûr, entre le premier du classement (Grenoble avec une note moyenne de 18,7 sur 20) et le dernier (Digne-les-Bains, 10,2), qui n'est pas vraiment servi par sa topographie. Au passage, on observera qu'aucun des chefs-lieux ne se situe désormais sous la note de 10, ce qui était encore le cas de quatre villes en 2012.
En termes de typologie de locaux, les centres commerciaux continuent de se distinguer, avec une note moyenne de 8,89 sur 10. D'autres catégories de bâtiments progressent sensiblement, comme les bureaux de poste (7,59), les piscines (qui passent de 6,89 à 7,35) et les cinémas (de 6,58 à 7,14). En revanche, les résultats sont toujours aussi mauvais pour les commerces de proximité et les cabinets médicaux et paramédicaux, ce qui pose le problème de l'accès aux soins des personnes handicapées. Même si l'accessibilité à 100% ne sera sans doute pas atteinte avant l'échéance du 1er janvier 2015, les résultats sont également plutôt bons pour les bâtiments publics : 93,75% des mairies principales seraient accessibles (contre 84% en 2012), de même que 94,79% des théâtres et 91,07% des stades.
En termes de localisations géographiques, le baromètre montre que certaines villes ont fait preuve d'un fort dynamisme en 2013, en améliorant nettement leur note moyenne, à l'image de Poitiers et Mont-de-Marsan (+4,5 points par rapport à 2012), Dijon (+3,9), Nîmes (+3,6), Besançon (+2,9), Laval et Saint-Etienne (+2,7). A l'inverse, une douzaine de villes ont fait du sur-place l'an dernier, comme Avignon, La Rochelle, Toulon, Bar-le-Duc, Aurillac, Vannes et Évry.

Non aux AD'AP

Mais, au-delà de ces contrastes, la vraie raison de la colère de l'APF réside dans les AD'AP - les agendas d'accessibilité programmée -, mis en place à la suite du rapport de Claire-Lise Campion en mars 2013 (voir notre article ci-contre du 4 mars 2013). Malgré quelques points positifs (instauration de sanctions financières, possibilité d'annuler un marché public en cas d'acquisition de matériel roulant inaccessible...), les AD'AP se voient reprocher le "délai supplémentaire inacceptable de 3 à 9 ans" dans la mise en œuvre de l'accessibilité. Ainsi que le résume le document de l'APF : "Accessibilité en France : 40 ans d'échec et bientôt 9 de plus avec les AD'AP ! "

ADAPT : AUTRE BAROMÈTRE, AUTRE INTERPELLATION DES ÉLUS LOCAUX
L'Adapt, l'Association pour l'insertion sociale et professionnelle des personnes handicapées, publiait l'été dernier les résultats d'une enquête menée par OpinionWay auprès des Français et des maires. Selon ce baromètre, un Français sur deux estime que sa commune est "en retard" sur ce sujet de l'insertion des handicapés. Et un maire sur trois admet le retard de sa propre collectivité. Avec une fourchette très large de situations… Ainsi, 8% des communes, le plus souvent des petites communes de moins de 5.000 habitants, reconnaissent n'avoir encore lancé aucun aménagement, tandis que parmi les grandes villes de plus de 10.000 habitants, près d'une sur deux estime même être en avance sur ses obligations.
Plus des trois quarts des maires interrogés estiment qu'il est "difficile de mener une politique en faveur des personnes en situation de handicap" et ce, pour de multiples raisons : budgets trop limités (80%), manque d'information sur les structures et les aides existantes (45%), manque de pédagogie sur les problématiques liées au handicap (35%).
Tout en rappelant qu'elle met précisément à disposition des collectivités locales "son expérience et son savoir-faire pour les accompagner dans l'élaboration et le déploiement de leur politique d'insertion", l'Adapt prend aujourd'hui les devants et vient d'interpeller les élus locaux et les candidats aux municipales : elle leur adresse "14 engagements permettant à la personne handicapée de vivre dans sa commune une vie de citoyen à part entière". Et ce, qu'il s'agisse de culture, de sport, d'éducation, d'emploi, de logement, de transports ou de vie politique. Parmi ces 14 propositions, outre les plus évidentes sur l'accessibilité, la scolarisation ou encore l'embauche de personnes handicapées au sein des services municipaux, on trouve des préconisations plus spécifiques, telles que : "Aborder dès que possible les questions du handicap dans les délibérations du conseil municipal", "Renforcer l’articulation entre le centre communal d’action sociale (CCAS) et la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH)".
Cette campagne à destination des maires et des candidats est à retrouver surwww.ladapt.net.Claire Mallet

Jean-Noël Escudié / PCA

mardi 21 janvier 2014

Un site pour noter les politiques automobiles en ville.

Un site pour noter les politiques automobiles en ville


L'association 40 millions d'automobilistes lance le 21 janvier un site internet qui permet aux automobilistes de noter la politique menée par leur municipalité en matière d'automobile.

Source : MobiliCités

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 Accès à l'enquête.

dimanche 5 janvier 2014

Appel à projets TCSP : le troisième cru devrait marquer l'année.

TCSP pour Transports en Commun en Site Propre,( définition )autrement dit un moyen de transport sur une voie de circulation dédié, comme à Metz pour le Mettis.

Le CEREMA nouveau est arrivé.

Le CEREMA, Centre d'Etudes et d'expertise sur les Risques, l'Environnement, la Mobilité et l'Aménagement remplace, entre autres,le CETE Centre d'Etudes Techniques de l'Equipement, que d’aucuns connaissent, au moins de nom.